Le nombre de personnes en activité partielle recule fortement et représente désormais moins de 4% des salariés du privé. L’activité économique repart comme en témoigne le million d’offres d’emploi non encore pourvues.
Dans ce contexte, le recrutement de salariés avec les compétences attendues s’avère parfois compliqué, voire compétitif entre entreprises.
C’est pourquoi, une fois le recrutement effectué, l’étape d’accueil et d’intégration est essentielle à la fidélisation du nouveau collaborateur.
Durant les 12 premiers mois qui suivent une embauche, le risque de rupture d’un CDI est en moyenne de 36 %. Le risque est le plus élevé durant les 3 premiers mois. Ce risque de rupture de contrat concerne aujourd’hui tous les secteurs et toutes les catégories de personnel.
L’intégration du salarié vise à faciliter son arrivée dans l’entreprise, sa prise de fonction pour qu’il se sente rapidement bien dans l’entreprise et soit en mesure d’y exprimer ses compétences.
Anticiper l’arrivée du collaborateur
- En matière d’organisation du travail : planifier précisément les premiers jours, planifier les premières activités et l’acquisition progressive des compétences spécifiques à l’entreprise, …
- Sur le plan administratif : contrat de travail, déclarations préalables, modalités de réalisation du bulletin de salaire, …
- Sur le plan matériel : quels équipements faut-il prévoir ?
Etre disponible les premiers jours pour accueillir, accompagner, et pour sensibiliser sur les risques professionnels liés à l’activité (en lien avec le Document Unique d’Evaluation des Risques)
- Remettre et présenter le livret d’accueil, les usages et les règles de fonctionnement de l’entreprise, les horaires, …
- Présenter la fiche de poste, l’organisation du travail et de l’équipe
- Répondre aux questions
Faire le point régulièrement les premières semaines.
Contact :
Dominique Motteau, consultant RH
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