Tendance à l’équilibre pour les productions animales
- Bovin Lait : les laiteries sont à la recherche de producteurs de lait.
- Bovin Viande : une belle progression depuis 2 ans, d’après Ebio. La filière a besoin de visibilité et de sécurisation, le marché se stabilise, il est au palier de la consommation.
- Porc : l’offre et la demande en produits porcins bio commencent à s’équilibrer.
- Ovins viande : une filière qui rencontre des difficultés d’organisation pour répondre à la demande du fait de la réglementation BIO ovine (conditions sur la saisonnalité des ovins).
- Lait Caprin : les laiteries sont à la recherche de producteurs de lait.
- Volaille
- Poules Pondeuses : de nombreux projets en « poules pondeuses » ont vu le jour en 2017/2018. Croissance du nombre de poules pondeuses + 25 % , tandis que la consommation progresse de 15 %.
- Volailles de chair : en 2018, le marché de la volaille de chair aurait tendance à s’équilibrer. Concernant les perspectives 2019, les avis sont partagés. Certains distributeurs considèrent que le point d’équilibre est atteint, d’autres pensent que la demande va progresser.
Le développement de la production animale BIO entraîne un besoin en céréales pour l’alimentation, particulièrement sur la filière volaille
Les productions végétales ne demandent qu’à être développées
- Céréales : d’après les organismes collecteurs, la demande pour l’alimentation animale et humaine n’est pas satisfaite, malgré les vagues de conversion de ces 3 dernières années. C’est un marché porteur, particulièrement en blé meunier et légumes secs.
- Légumes de plein champ : la demande des consommateurs semble toujours aussi forte et les Grandes et Moyennes Surfaces souhaitent s’engager sur des filières légumes bio françaises.
- Légumes secs et plantes aromatiques : forte demande générale
- Arboriculture : poursuite des conversions, en dépit des difficultés climatiques de production. L’offre reste inférieure à la demande.
- Viticulture : marché en progression
Les distributeurs étoffent leurs gammes autour du « mieux-manger »
Les ventes explosent dans les grandes et moyennes surfaces alimentaires et chaque transformateur ou distributeur crée sa marque BIO.
(Source : Commission Bio Maine-et-Loire – 21/09/2018)